Chroniques

JC Satàn JC Satàn

Proverbe bulgare: “Le silence irrite le diable”.

La France n’a jamais réellement aimé son rock, mais la France n’a jamais vraiment eu d’autres choix que Téléphone sur Nostalgie ou Philippe Manoeuvre comme porte parole. Et pourtant, ici et là, ce ne sont pas les raisons d’y croire qui manquent. En ce lundi, on en compte cinq, et elles s’appellent Arthur, Paula, Alice, Romain et Dorian. Ou tout simplement JC Satàn, bordelais dont le quatrième album éponyme (dans les bacs aujourd’hui, pour ceux qui auraient l’excellente idée de se le procurer en vinyle) est tout simplement grandiose. Dix titres sauvages qui tirent dans tous les sens, où les guitares beuglent et les mélodies se fredonnent sous la douche, à moins que ce ne soit l’inverse. KO, Le Diable est dans leur six cordes, et nous, sortons hagares de cette expérience qui prouve une nouvelle fois la valeur du label Born Bad, dénicheur de précieuses pépites.

 

Le fameux Diable étant également dans les détails, nous ajouterons que le groupe est en ce moment en tournée, .

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